« J’ai beaucoup de pouvoirs, mais je ne contrôle pas encore la météo. C'est un peu au-dessus de mes moyens. »
Michael Cheika, sélectionneur de l'Argentine, à propos du fait qu'il souhaite de la pluie pour la demi-finale contre la Nouvelle-Zélande ce vendredi.

« Tele’a a payé pour sa faute. »
Ian Foster, sélectionneur de la Nouvelle-Zélande, à propos du rappel de Mark Tele'a, qui n'avait pas joué le quart de finale pour des raisons disciplinaires.

« Quand on jouait gamins dans le jardin, on rêvait de vivre ça. »
Beauden Barrett, arrière de la Nouvelle-Zélande, à propos du fait de jouer une demi-finale de la Coupe du Monde de Rugby aux côtés de ses frères Scott et Jordie.

« George Martin est encore jeune mais il a quatre ou cinq fois plus de barbe que moi. »
L’Anglais Maro Itoje serait-il envieux de la pilosité faciale de son collègue en deuxième ligne George Martin ?

« Une fois qu'on les a battus, ça les rend peut-être un peu plus humains. »
Felipe Contepomi, entraîneur adjoint de l'Argentine, sur ce que la victoire contre la Nouvelle-Zélande en août 2022 à Christchurch a pu apporter à l'esprit des joueurs.

« A-t-il vu juste ? Non. »
Steve Borthwick, sélectionneur de l'Angleterre, à propos de Rassie Erasmus, Directeur du rugby de l'Afrique du Sud, qui a prédit la composition de l'équipe de l'Angleterre en début de semaine.

« Tu n’imagines pas que des personnes tétraplégiques se mettent sur le museau de cette manière »

« Dan portait une belle veste beige, donc on ne pouvait pas trop s’approcher de lui pour le prendre dans les bras, on était tous trop sales. Il n’avait pas tellement envie de se salir non plus, donc on a gardé nos distances. »
Ian Foster, le sélectionneur de la Nouvelle-Zélande, révèle que les choix vestimentaires de Dan Carter ont empêché les All Blacks de manifester leur joie de le voir à leur séance d'entraînement.

« Chaque pays a sa propre âme, sa propre façon de voir le rugby, il faut donc s'y adapter. »
Jacques Nienaber, sélectionneur de l'Afrique du Sud, sur l'expérience à acquérir en jouant des équipes de l'hémisphère Nord.

« C’est ce que je leur (aux joueurs de l’équipe de France) ai dit : à vous d’être champions du monde maintenant que vos collègues du rugby à XV ne sont plus sur le pré. À vous de relever le défi sur le parquet. »
Jacques Rivoal, président de France 2023, à propos de la possibilité de faire mieux en rugby fauteuil qu’à XV.

« On a une grosse pression (…), mais on n’est pas encore au niveau de l’équipe de France "bipède". »
Ryadh Sallem, joueur de l’équipe de France de rugby fauteuil, qui participe à la Coupe Internationale de Rugby Fauteuil.

« Ce sont des sports qui percutent les préjugés : quand tu penses à des personnes tétraplégiques, tu n’imagines pas qu’elles se mettent sur le museau de cette manière, qu’elles se renversent avec leur fauteuil. Cela permet de percevoir le handicap sous un autre jour, un autre regard, et de voir les choses différemment. »
Ryadh Sallem, joueur de l’équipe de France de rugby fauteuil, à propos de ce handisport.

« Les enfants des écoles nous envoient des vidéos d'eux en train de chanter parce qu'ils savent que certains d'entre nous aiment chanter. Au travail, le vendredi, les gens portent leur maillot vert. Ce qui est beau à voir, c'est que les gens portent tout ce qui représente les Springboks. »
Le capitaine des Springboks, Siya Kolisi, se réjouit du soutien des Sud-Africains.