« C'est à quitte ou double pour nous. C'est un défi extrêmement motivant, un rêve pour les joueurs d'entrer dans un stade comme celui-ci, avec tout ce qui est en jeu, avec le parcours qu’on a eu jusqu'ici. »
Le deuxième ligne écossais Grant Gilchrist, à propos du défi qui attend son équipe contre l'Irlande au Stade de France samedi soir.
« Il faut juste lui donner le ballon et le laisser faire ce qu'il sait faire. Voilà le plan de jeu. »
Le pilier anglais Dan Cole à propos de la meilleure utilisation de Manu Tuilagi quand il joue bien.
« Certains pourraient penser qu’on veut aider les Fidji plus que l’Australie. En fait, on s’en fiche un peu. On ne se préoccupe que de nous, de ce que cette équipe est en train de montrer, de ce qu’elle fait sur le terrain. On veut simplement continuer à être performants, à rivaliser comme on le fait depuis la première minute de cette compétition. »
Le sélectionneur du Portugal Patrice Lagisquet resitue l'enjeu du match contre les Fidji pour son équipe.
« Je prends deux, trois pièces, mais ça reste soft »
« Certains gars désinfectent leurs matelas de toute manière, en particulier ceux du cinq de devant, donc ce n'est pas un problème. »
L'entraîneur de la mêlée de l'Irlande John Fogarty à propos des punaises de lit dans les établissements parisiens.
« Je ne fais pas de paris. Je crois que je n’ai pas le droit de toute façon. Mais bon, ça y est, la Nouvelle-Zélande a eu son déclic. Elle était dans le dur avant la Coupe du Monde et contre la France, elle a retrouvé son rugby. C’est une équipe dangereuse quand elle a le ballon mais la France aussi, elle a de gros gabarits et elle est capable de pratiquer un jeu très direct. Donc je garde les 20 euros. On passe 50 euros. »
L'ouvreur italien Tommaso Allan, à la question de savoir s'il miserait 20 euros sur la France ou la Nouvelle-Zélande.
« Ma femme déteste ma moustache. C’est aussi pour ça que je la garde. »
L'ailier irlandais James Lowe révèle ses secrets de beauté.
« C’est pour ça qu’on joue au rugby. Si on recherche la facilité, si l’on veut que tout soit calé d’avance, alors il ne faut pas venir. »
Le sélectionneur de l'Argentine Michael Cheika a hâte de voir son équipe en découdre face au Japon à Nantes dimanche.
« Je ne suis pas un dirigeant. J'aime le rugby, je n'aime pas la politique. Je ne suis pas un politicien. Je ne l'ai jamais été et je ne le serai jamais. »
Le sélectionneur de l'Australie, Eddie Jones, n'est pas très chaud à l'idée de devenir Directeur de la haute performance de Rugby Australia.
« Non pas plus que ça. Je suis le plus jeune, je le sais. Je prends deux, trois pièces, mais ça reste soft. »
Le jeune ailier de l'équipe de France Louis Bielle-Biarrey, quand on lui demande s'il se fait chambrer par ses coéquipiers.
« C'est comme si vous deviez faire vos courses chez David Jones (magasin australien) et Woolworths. Il faut faire les deux. Si vous faites toujours vos courses chez David Jones, vous serez vite à court d'argent. »
Eddie Jones, sélectionneur de l’Australie, pour expliquer que le rugby australien doit à la fois attirer et recruter des athlètes d’autres sports.
« J’apprends le français. J’avais des cours à l’école, je suis rouillé mais j’ai les bases. »
Will Rowlands, deuxième ligne du pays de Galles, avant son arrivée prochaine au Racing 92.
« J’ai réservé un bouchon en ville. C’est un truc à faire absolument avant de quitter Lyon. Mais on gardera un œil sur le match. »
Beauden Barrett, arrière de l’équipe de Nouvelle-Zélande, à propos du fait qu’il n’a pas prévu de regarder l’intégralité du match France-Italie.
« Je n’ai pas envisagé quoi que ce soit au-delà du prochain repas. »
Scott Barrett, deuxième ligne, à propos de savoir si lui aussi avait prévu de sécher le match France – Italie.