« Il a failli arracher la tête de Johnny Sexton trois ou quatre fois, donc il est en forme et prêt à en découdre. »
Andy Farrell, sélectionneur, à propos de l'état de forme de James Ryan, remplaçant.

« Whitelock est venu dire quelques mots, nous lui avons donné un maillot (commémoratif de l'Uruguay) pour ses 150 sélections. Il a fait un discours, c'était vraiment très bien. Il a raconté qu'il ne s'attendait pas à jouer une seule sélection et qu'il en a finalement joué 150. Il avait la chair de poule et il était très fier de notre Coupe du monde. C'est vraiment un honneur pour nous de jouer contre quelqu'un comme lui. Il (Whitelock) a bu une bière avec nous et Damian aussi. »
Juan Manuel Alonso, trois-quarts centre de l’Uruguay, à propos de la remise par son équipe à Sam Whitelock d'un maillot spécial de l'Uruguay pour commémorer sa 150e cape.

« C'est une question vraiment stupide parce que cette équipe a joué 26 tests-matchs avant que ça n'arrive. Ce qui vous définit, c'est la façon dont vous réagissez à ces situations, la façon dont vous vous en sortez. On peut se sentir mal dans sa peau, ce qui est tout à fait normal, mais c'est dans la façon dont on réagit qui nous définit. »
Andrea Moretti, entraîneur en charge de la mêlée de l’Italie réagissant à la question de savoir si la défaite contre la Nouvelle-Zélande est révélatrice du niveau actuel du rugby italien.

« Ce sont les joueurs qui ont dirigé l’entraînement plutôt que les entraîneurs. Cette semaine, c’était Keita Inagaki. Il a parlé de ce match comme le ‘Samurai Time’. Une fois que le katana (sabre japonais) est sorti, c’est à la vie à la mort. On doit abattre notre katana sur l’adversaire pour le vaincre. Ces mots sur l’état d’esprit sont plus importants que le plan de jeu à l’heure qu’il est. »
Yuichiro Fujii, directeur de l’équipe du Japon à propos du message adressé à ses joueurs.

« En 2019, j’étais encore au lycée. Les résultats de l’équipe de rugby japonaise ont eu un impact énorme dans le tout pays, et encore plus dans toute la communauté du rugby. C’était incroyable. »
Warner Dearns, deuxième ligne du Japon Sur ce qu’une qualification en quart de finale des Brave Blossoms signifierait pour le rugby japonais.

« C’est une super Coupe du Monde. C’est rare que ce soit aussi serré. J’ai l’impression que c’est la plus belle de l’histoire. Mais je vous répondrai à la fin. Si les All Blacks la gagnent, alors je dirai que oui. »
Andy Ellis, demi de mêlée, vainqueur de la Coupe du Monde de Rugby 2011 avec la Nouvelle-Zélande à propos de savoir si la Coupe du Monde de Rugby 2023 est la meilleure de tous les temps.

« C’est clair que je préfèrerais être en train de prendre le thé avec mes coéquipiers. Je donnerais tout pour ne pas être ici. »
Peter O’Mahony, troisième ligne de l’Irlande, à propos de sa 100e sélection qui l’oblige à des devoirs médiatiques.

« Avec le temps, on apprend qu’en faire moins, c’est bénéfique pour garder du jus. »
Peter O’Mahony, troisième ligne de l’Irlande à propos de sa préparation au bout de 100 sélections.

« Alex Davies, un entraîneur en charge du jeu au pied en Angleterre, m’en a envoyé un similaire. C’est un vieux tee, c’est la même sensation. Je l’ai couvert de strap et j’ai fait comme si c'était le même pour ne pas rater mes coups de pied ce week-end. Si je n’y arrive pas, je dirais que c’est de la faute du matériel. »
Lima Sopoaga, demi d’ouverture des Samoa à propos de son tee perdu qu’il n’a jamais retrouvé.