« Aujourd’hui, je rentre à l’hôtel avec une nouvelle belle image de mes joueurs et ça, c’est un peu l’objectif de tous les entraîneurs : être fier et découvrir sans cesse ses joueurs. Aujourd’hui, ils ont montré un bel exemple. »
Pablo Lemoine, sélectionneur du Chili, en apprend tous les joueurs sur ses joueurs
« C'est vrai que Toulouse, c'est la capitale du rugby en France. C'est un des clubs les plus historiques du pays, je ne veux vexer personne ! C'est magnifique. Il y a plein de Chiliens qui ont fait le déplacement France. À la maison, on n'a jamais joué devant 15 000 Chiliens dans un stade et ça arrive en France. C'est magnifique ! »
L'arrière chilien Inaki Ayarza a vu la vie en rose à Toulouse lors de l'entrée en lice de son équipe contre le Japon le dimanche 10 septembre
« Le sport numéro 1 au Chili, c’est le foot et nous nous battons pour la deuxième place. »
Martin Sigren, capitaine du Chili, veut installer le ballon ovale dans le paysage sportif de son pays
« Ils ont plaqué comme des diables »
Jamie Joseph, sélectionneur du Japon, impressionné par la défense des Chiliens
« Il faut aller chercher le respect des Néo-Zélandais. Il faut le mériter. On le voit avec les Springboks, quand les All Blacks viennent dans le vestiaire pour échanger leur maillot. Ils ne le font qu’avec les joueurs qu’ils respectent. C’est ça, le message que j’ai envoyé à mes joueurs. Faites tout pour qu’un All Black veuille échanger son maillot avec vous. »
Allister Coetzee, sélectionneur de la Namibie, espère revenir à l'hôtel avec quelques maillots noirs après le match de son équipe face à la Nouvelle-Zélande le vendredi 15 septembre
« Nous sommes en stage depuis deux mois et demi, depuis le début du mois de juin, et au sein du staff, nous voulons que les joueurs prennent du temps libre, qu'ils aient la possibilité de profiter de la Coupe du Monde. Nous ne voulons pas les voir autour de l'hôtel, nous ne voulons pas les voir s'entraîner ou faire des extras pendant ces jours-là. »
Andrea Moretti, entraîneur de la mêlée de l'Italie, veut que les joueurs se vident la tête
« Vous savez, pendant les hymnes, on entend à peine. On chante tellement fort, nos voix sont tellement mauvaises, qu’on n’entend rien. »
Siya Kolisi, capitaine de l'Afrique du Sud
« Je ne sais pas si vous êtes allés au bord du terrain ou à proximité, mais le bruit est tellement phénoménal qu’on ne s’entend pas. C’est difficile de parler directement à notre staff. La communication peut être faite par des signaux à la main. Je ne pense pas qu’on ait besoin de la permission de World Rugby pour ça. J’étais au Munster (2016-2017) et le rouge annonçait un remplacement, l'orange voulait dire qu’on pouvait attendre un peu et le vert que tout aillait bien. C’est une manière plus facile de communiquer avec eux. Il n’y avait rien de tactique. »
Jacques Nienaber, sélectionneur de l'Afrique du Sud